S'isole ( PV n'importe qui )

John regarda dans le vide. Il ne pouvait, en aucun cas, avouer que c'étaient se parens que so frère avait défendus avant de mourir. Tout d'abord car c'était la plus grande honte dont il pourrait souffrir, et en plus parce que... On ne savait pas comment Jalal allait réagir. Et John n'avait en ce moment même aucune défense, aucune force, et aucune envie de se faire laminer encore, alor qu'il souffarait déjà le martyr. Il garda les yeux dans le vide, déséspéré, et n'ajouta rien. Sa poitrineparut s'arracher tant son coeur battait fort. Il devait parler a tout prix à ses parents, mais cela lui était impossible. Il resta plongé dans un silence pesant.

Jalal regarda le serpentard et lui dit

Alors je vois que tu n'en a aucune

Lui dit jalal puis il lui dit

Je ferais mieux de demander a mes parents d'enqueter un peu sur ces deux personne, d'ou il vienne et qui sont-il

John s'affola. il leva la tête, un regard pétrifié sur le visage de Jalal.

" Je croyais que tu n'en éprouvais pas le besoin. "

Cependant, il ne lui demanda pas de e pas enqueter, car cela n'aurait fait qu'attiser sa curiosté. Il fallait se rattraper et faire cmme si finalement, cela n'avait pas tant d'importance que cela. mas les doutes qu'il avait fait murir dans l'esprit de Jalal resteraient peut être profonds. John eut peur pour lui. CeJlal devenait vraiment... "gênant"...

Jalal le regardait et il lui repondit

Oui mais maintenant que je vois que tu es bien curieux alorsd j en eprouve le besoin

Lui repondit jalal

John crispa la machoir, se demandacomment il pourrait le détourner de ce genre de curiosité, ais ne trouvait dséspérément rien. Il lui lança un regard mi-foudoyant, mi-implorant.

* Sil découvre ça... Je suis un homme mort.*

Jalal le regarda et il dit

Dés que j'aurai toute les information, je comprendrais pourquoi tu es si curieux

Lui dit jalal qui fit demi-tour et se dirigea vers la porte et il ajouta

Je vais envoyer un hibou maintenant a mes parents

John vit Jalal quitter la pièce. il resta pendant d'interminables minutes immobile, le regrad vide. t il donna un violent coup de poing dans la table de chevet, ce qui le fit souffrir le martyr. Maisil ne gémit pas, et retapa, frappa ecore, et encore, et encore...
Il s'évanouit enfin, épuisé, à bout de force et terrassé par la douleur .